étrange, je voyais pour ma part des couleurs presque aborigènes (un ocre rouge qui se transformerait en ocre jaune)et dans les lignes aussi qui viennent dessiner le corps comme un paysage, un territoire de l'urbanité humaine, une cosmogonie universelle alors ?
Vu avez le regard acéré de l' indien Louise blau. J' ai intitulé une de mes anciennes linogravures, visage composé, village..le corps a sa mémoire géographique et il trace sa carte pas uniquement sur du papier! Soleil, ce dimanche matin.
Mais c'est Plume-blanche-qui-roule-plus-vite-que- le-vent!
RépondreSupprimerOui, sweet charriot en quelque sorte..
SupprimerIndien vaut mieux que deux tu l'auras…
RépondreSupprimerAmer indien, alors.
Supprimerit's really amazing, i love the style and the idea ;)
RépondreSupprimerThank you soldier of art!
Supprimerindien d'Inde, Indien d'Amérique ou Indien de soi
RépondreSupprimerah tiens, justement le voilà !
Le dernier des mohicans?
SupprimerCa va me plaire ici !
RépondreSupprimerHou là, là vos mots laissent supposer un caractère qui déménage, comme votre nom.
SupprimerBienvenue à vos couleurs ici!
ce matin est indien ... allez donc voir ici, j'en viens : http://louisevs.blog.lemonde.fr/
RépondreSupprimerOui Gilbert Pinna, je l' ai vu et revu ce message de Louise.
SupprimerIl a quelque chose de troublant dans le laconisme des formes mêmes..
étrange, je voyais pour ma part des couleurs presque aborigènes (un ocre rouge qui se transformerait en ocre jaune)et dans les lignes aussi qui viennent dessiner le corps comme un paysage, un territoire de l'urbanité humaine, une cosmogonie universelle alors ?
RépondreSupprimerVu avez le regard acéré de l' indien Louise blau.
SupprimerJ' ai intitulé une de mes anciennes linogravures, visage composé, village..le corps a sa mémoire géographique et il trace sa carte pas uniquement sur du papier!
Soleil, ce dimanche matin.
Une anthropologie de l'intime.
RépondreSupprimerA fleur de peau, alors.
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