et bien personnellement les dimanches, j'ai de grandes conversations avec notre créateur (même si ce n'est pas très tendance), j'ai de grandes conversations avec ceux qui ne sont plus et qui me manque, ceux qui y songent, avec mon passé, ou mon avenir dans lequel je songe passé les quelques années qui viennent… beaucoup de bruit en fait et souvent pour pas grand chose…
Un peu de vie intérieure ce n'est pas mettre nos relations extraconjugales sous cloche. Nos conversations avec l'ange,notre dialogue avec les fées, nos prosopopées près des cromlechs ne regardent que nous! Entièrement d'accord avec vous TG. Le silence est bruyant,bruissant,bouillant et je ne m'en lave pas les mains. Et vous?
Dans mon silence, coexistent tellement de bruits, une multitude de conjugaisons (l'extraconjugal,nommé ci-dessus...)de pensées et de sensations. Ça fourmille! Et souvent,je n'arrive plus à suivre.
Ah, ne me parlez pas de Menton Joye! J'y suis resté un jour et pour trouver une chambre d'hôtel, misère! Bon,c'était le jour de la fête du citron..mais heureusement, je ne suis pas resté marron!:) Face à la mer..une visite dans la vieille ville, le soir alors que les orgues donnaient toutes les notes possibles et imaginables dans une église à la porte fermée à clef. Mais pourquoi Menton? A cause du corps atrophié de mon bonhomme? (Non, ce n'est pas un fœtus...avec ces noms en us, on est foutusss!)Un corps moignon, peut-être.
♥ ♥ ♥ . . . Ces Onomatopées visuelles pour mon coup de coeur dans l'atmosphère de ce « grand ocre » affirmé. Et pour l'Homme haut comme une terre d'origine.
Il est haut, mais possède un corps de racine. Il a une dent contre la vie, peut-être? Ses "dessous malades d'amour ..J'ai reçu votre poème, envie de le peindre ce Miroir périlleux!
J'aime l'idée de l'homme au corps de racine. Et sa dent contre la vie dérive-t-elle au gré de ses tourments ? Merci beaucoup, Jean-Marie, pour votre lecture de mon poème et je suis très touchée qu'il puisse vous inspirer. Il me plairait de voir mon Miroir périlleux à la lumière de votre peinture. Et ma curiosité pour l'angle de cette lumière est en réel éveil. A bientôt.
Ho,ho,ho Lautreje, je rentre avec des plantations plein les bras, de l'engrais..il me manque plus que votre jolie terre cuite pour y faire pousser tout cela!
et bien personnellement les dimanches, j'ai de grandes conversations avec notre créateur (même si ce n'est pas très tendance), j'ai de grandes conversations avec ceux qui ne sont plus et qui me manque, ceux qui y songent, avec mon passé, ou mon avenir dans lequel je songe passé les quelques années qui viennent… beaucoup de bruit en fait et souvent pour pas grand chose…
RépondreSupprimerUn peu de vie intérieure ce n'est pas mettre nos relations extraconjugales sous cloche. Nos conversations avec l'ange,notre dialogue avec les fées, nos prosopopées près des cromlechs ne regardent que nous!
SupprimerEntièrement d'accord avec vous TG.
Le silence est bruyant,bruissant,bouillant et je ne m'en lave pas les mains.
Et vous?
il y a les silences pour de bonnes raisons, et tant de bruits pour de petites.
SupprimerDans mon silence, coexistent tellement de bruits, une multitude de conjugaisons (l'extraconjugal,nommé ci-dessus...)de pensées et de sensations. Ça fourmille!
SupprimerEt souvent,je n'arrive plus à suivre.
comme Flaubert, "je redoute plus le bruit d'une porte que la trahison d'un ami…"
SupprimerIl vous faut écouter ceci:
Supprimerhttp://www.ina.fr/fresques/artsonores/fiche-media/InaGrm00012/pierre-henry-variations-pour-une-porte-et-un-soupir.html
A volte il silenzio ci fa bene!! bello il tuo dipinto! buon inizio settimana a Te...ciao
RépondreSupprimerLorsque l'on atteint le silence total, Giancarlo, c'est la mort.
SupprimerMais oui,le petit silence, une montagne bénéfique plus proche des nuages.
J'ai été à Menton, moi aussi. ;-)
RépondreSupprimerAh, ne me parlez pas de Menton Joye!
SupprimerJ'y suis resté un jour et pour trouver une chambre d'hôtel, misère!
Bon,c'était le jour de la fête du citron..mais heureusement, je ne suis pas resté marron!:)
Face à la mer..une visite dans la vieille ville, le soir alors que les orgues donnaient toutes les notes possibles et imaginables dans une église à la porte fermée à clef.
Mais pourquoi Menton?
A cause du corps atrophié de mon bonhomme? (Non, ce n'est pas un fœtus...avec ces noms en us, on est foutusss!)Un corps moignon, peut-être.
♥ ♥ ♥ . . . Ces Onomatopées visuelles pour mon coup de coeur dans l'atmosphère de ce « grand ocre » affirmé. Et pour l'Homme haut comme une terre d'origine.
RépondreSupprimerIl est haut, mais possède un corps de racine. Il a une dent contre la vie, peut-être?
SupprimerSes "dessous malades d'amour
..J'ai reçu votre poème, envie de le peindre ce Miroir périlleux!
J'aime l'idée de l'homme au corps de racine. Et sa dent contre la vie dérive-t-elle au gré de ses tourments ?
SupprimerMerci beaucoup, Jean-Marie, pour votre lecture de mon poème et je suis très touchée qu'il puisse vous inspirer.
Il me plairait de voir mon Miroir périlleux à la lumière de votre peinture. Et ma curiosité pour l'angle de cette lumière est en réel éveil. A bientôt.
visage poignant. beauté.
RépondreSupprimer...Comme une attente résignée..
SupprimerIl a le regard "lourd" ; le silence pesant! il est mon compagnon et en dit "long" quelle musique =_*
RépondreSupprimerVotre perception, attention et finesse.
SupprimerMerci!
et pourtant un dimanche qui en dit long
RépondreSupprimerHo,ho,ho Lautreje, je rentre avec des plantations plein les bras, de l'engrais..il me manque plus que votre jolie terre cuite pour y faire pousser tout cela!
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