Impressionnante cette nouvelle grille de lecture, comment chacun d' entre nous s' approprie une œuvre! Vert algue marine ici pour rester dans la note et regarder par capillarité. Belle année aussi à vous mystère Marty!
Sur ces grandes pattes maigres, elle essayait encore de nous faire croire à sa beauté. Mais ces cheveux emportés par le vent avaient pris les couleurs de la jalousie.
Aucune projection imagée Gwendoline, dans ce travail résolument non figuratif. Mais le jardin, les algues, c' est du possible pour le regardeur. Notre regard est chargé qu'on le veuille ou non de toute notre vie passée, nous n'y pouvons rien.Alors... Je crois qu'il faut accepter cela avec bonne humeur et je l' ai déjà écrit sur ce blog, le titre n' induit pas forcément le sujet peint.Il est d' ailleurs en ce qui me concerne souvent décalé, voire en contradiction, en opposition au sujet représenté. A bientôt!
Graphiquement, un de mes préférés. Il fallait oser le violet ! Le texte imprimé pose une valeur de gris. C'est quand même incroyable de jouer avec l'écriture jusqu'à tirer des lettres et des espaces entre les mots et les lignes : une matière, une couleur. Vraiment surprenant...
Quelquefois on sort de soi, "on ose" pour reprendre votre expression christiane. Offrir à la vue des autres, s' exposer, rien de moins facile en ce qui me concerne. C' est comme un pas de course qui vous pousse à l' arrivée. Mais d' être arrivé à quoi? L' envie est là, avec l'impératif désir d' un nouveau départ. Se refaire en quelque sorte! Toujours recommencer et jamais la même chanson. Pourtant on se dit que là il y a du très fort et on essaie d'y parvenir à nouveau. Mais rien n' est certain. Alors on repart à zéro, avec la frayeur dans les doigts, la frénésie dans les yeux et la peur au ventre.
Oui, se refaire comme d' autres essaient de se refaire au jeu. Comme une dernière danse avant de rentrer et qui nous aiguise le corps et le cœur! Beaucoup d' émotion ici, on se met en jeu, on se met en joue.
Loup y est-tu?
RépondreSupprimerJ'y vois deux danseurs au bord de la mer - je suis captivée par le drame de leurs mouvements.
RépondreSupprimer@TG
RépondreSupprimerAu bal masqué,ohé,ohé!
@joye
RépondreSupprimerTrès étrange animal à crinière en ce qui me concerne, avec un masque, je ne peux le nier!
naissance ! comme les filles... dans une fleur !!!
RépondreSupprimerbelle nouvelle année mister Staive
Impressionnante cette nouvelle grille de lecture, comment chacun d' entre nous s' approprie une œuvre!
RépondreSupprimerVert algue marine ici pour rester dans la note et regarder par capillarité.
Belle année aussi à vous mystère Marty!
extrêmement érotique !
RépondreSupprimerAlors là, Lautreje, expliquez-moi!
RépondreSupprimerSur ces grandes pattes maigres, elle essayait encore de nous faire croire à sa beauté. Mais ces cheveux emportés par le vent avaient pris les couleurs de la jalousie.
RépondreSupprimerArthémisia
RépondreSupprimerElle est Sorcière de soi!
rien de convulsif pour moi! mais plutôt un jardin en devenir....Mais je suis résolument et définitivement optimiste
RépondreSupprimerAucune projection imagée Gwendoline, dans ce travail résolument non figuratif.
RépondreSupprimerMais le jardin, les algues, c' est du possible pour le regardeur.
Notre regard est chargé qu'on le veuille ou non de toute notre vie passée, nous n'y pouvons rien.Alors...
Je crois qu'il faut accepter cela avec bonne humeur et je l' ai déjà écrit sur ce blog, le titre n' induit pas forcément le sujet peint.Il est d' ailleurs en ce qui me concerne souvent décalé, voire en contradiction, en opposition au sujet représenté.
A bientôt!
Graphiquement, un de mes préférés. Il fallait oser le violet ! Le texte imprimé pose une valeur de gris. C'est quand même incroyable de jouer avec l'écriture jusqu'à tirer des lettres et des espaces entre les mots et les lignes : une matière, une couleur. Vraiment surprenant...
RépondreSupprimerQuelquefois on sort de soi, "on ose" pour reprendre votre expression christiane.
SupprimerOffrir à la vue des autres, s' exposer, rien de moins facile en ce qui me concerne. C' est comme un pas de course qui vous pousse à l' arrivée. Mais d' être arrivé à quoi? L' envie est là, avec l'impératif désir d' un nouveau départ. Se refaire en quelque sorte!
Toujours recommencer et jamais la même chanson. Pourtant on se dit que là il y a du très fort et on essaie d'y parvenir à nouveau. Mais rien n' est certain. Alors on repart à zéro, avec la frayeur dans les doigts, la frénésie dans les yeux et la peur au ventre.
Oui, se refaire comme d' autres essaient de se refaire au jeu.
SupprimerComme une dernière danse avant de rentrer et qui nous aiguise le corps et le cœur!
Beaucoup d' émotion ici, on se met en jeu, on se met en joue.
Esa sensación es delirante, empezar de nuevo, usas bellos colores, y una armonía expectante, buen trabajo, Jean Marie, saludos desde Chile,
RépondreSupprimerMerci de votre visite!
SupprimerA bientôt?