travail différent et si ce n'était plus le dessin qu'il fallait voir mais le blanc du papier... et si le lutin barbu en haut à gauche décidait de partir pour suivre les étoiles...
@Lautreje Ce qui est étonnant lorsque l' on pose un dessin , ce sont les lectures du public, toujours surprenantes pour l' auteur. Par exemple ce lutin que vous voyez, eh bien, je ne le soupçonnait même pas. Et maintenant je ne vois que lui! C' est le "lutifault", la faute au lutin. J' ai vérifié, il apparaît obstinément ce lutin lapin aux grandes oreilles! Drôle aussi de constater que l'abandon du figuratif laisse cependant apparaître un imaginaire de formes figurées. Ne rien dire c' est dire beaucoup..surtout par l' extrême pointe du corps/crayon.
@Arthémisia Éteintes? C' est bien parce que nous sommes à des anémones lumières..lueur désormais enfouie alors que tout était aveuglant soleil! Regarder rend fou, peindre nous calme dans l' instant..
@joye Quel beau titre ce "deux oiseaux dans la main d' une fleur"! Encore un monde qui s'ouvre et qui s' anime. On quitte la mauve idée pour la movida! ( J'ai travaillé toute la matinée des enveloppes à la bombe acrylique rouge vif). Ça remue, le rouge! Ciao.
oui, éteintes, parce qu'automnales, en deuil, sourdes, et sûrement en recherche de paix. Regarder ne rend pas toujours fou : regarder rend lucide (éclaire) souvent...
@Arthémisia Oui, mais l'éclair noir, essentiel oxymore de la vie. Nous sommes fini et infini à la fois et j' aime lorsque l' œuvre explose de cette façon.
travail différent
RépondreSupprimeret si ce n'était plus le dessin qu'il fallait voir mais le blanc du papier...
et si le lutin barbu en haut à gauche décidait de partir pour suivre les étoiles...
vérificateur : lutfult
@Lautreje
RépondreSupprimerCe qui est étonnant lorsque l' on pose un dessin , ce sont les lectures du public, toujours surprenantes pour l' auteur.
Par exemple ce lutin que vous voyez, eh bien, je ne le soupçonnait même pas.
Et maintenant je ne vois que lui!
C' est le "lutifault", la faute au lutin. J' ai vérifié, il apparaît obstinément ce lutin lapin aux grandes oreilles!
Drôle aussi de constater que l'abandon du figuratif laisse cependant apparaître un imaginaire de formes figurées.
Ne rien dire c' est dire beaucoup..surtout par l' extrême pointe du corps/crayon.
Il ressemblait de + en + à un bouquet d'anémones aux teintes éteintes.
RépondreSupprimerDeux oiseaux dans la main d'une fleur, cela vaut bien deux Laura, monsieur Dante. ;-)
RépondreSupprimer@Arthémisia
RépondreSupprimerÉteintes?
C' est bien parce que nous sommes à des anémones lumières..lueur désormais enfouie alors que tout était aveuglant soleil!
Regarder rend fou, peindre nous calme dans l' instant..
@joye
RépondreSupprimerQuel beau titre ce "deux oiseaux dans la main d' une fleur"!
Encore un monde qui s'ouvre et qui s' anime. On quitte la mauve idée pour la movida!
( J'ai travaillé toute la matinée des enveloppes à la bombe acrylique rouge vif).
Ça remue, le rouge!
Ciao.
oui, éteintes, parce qu'automnales, en deuil, sourdes, et sûrement en recherche de paix.
RépondreSupprimerRegarder ne rend pas toujours fou : regarder rend lucide (éclaire) souvent...
@Arthémisia
RépondreSupprimerOui, mais l'éclair noir, essentiel oxymore de la vie.
Nous sommes fini et infini à la fois et j' aime lorsque l' œuvre explose de cette façon.
comme le lait noir...
RépondreSupprimerDéjà,Tristan Tzara:
RépondreSupprimer" L'obscurité est productive si elle est lumière tellement blanche et pure que nos prochains en sont aveuglés".
TRES FORT !
RépondreSupprimerAvec un goût qui vous reste longtemps dans la bouche.
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