Imagination oiseuse? C' est un occis mort,ça! Très fructueuse au contraire, il y a de l' oeuf et de l' oiseau là dedans,avec le bouquet de lilas en filigrane ,c' est " la renaissance printanière!" je l' ai vue sur tous les blogs ce soir!
De Versus, je verse . . . vers Jean Marie Staive ! Alors, Bonsoir Jean Marie Staive-Versus dont je suis, dessin après dessin, la publication de votre projet prometteur '' un livre peint sur les mots d'un autre '', et qui a beaucoup de qualités.
Votre dessin présent, tonique et lumineux, est séduisant pour son voyage ouvert vers une échappée à longues tiges. Je le vois ensoleiller d'un visage en feu, les gestes pendants, pour agir sur les ''imaginations oiseuses'' : ces dormeuses aux dodos (*). Le regard mène le jeu solaire d'un bord à l'autre des énergies limpides. Charmes en rangs bercés sur la pensée. Je n'ai plus un sommeil inutile !
Isabelle Dalbe
(*) non ces oiseaux disparus, mais les mots empruntés au langage enfantin
@megi, Je trouve très intéressante votre interprétation du sujet du message. Oui, rétractation et expansion...mais n' est-ce pas le mouvement de la vie, de toute respiration ? C' est le corps qui parle, et les signes ( peinture et écriture ) s' assoient à la table du festin de l' esprit. Très bonne journée !
Isabelle Dalbe, merci pour votre analyse généreuse, créative et précise quand à son fond.Vous vivez parmi les poètes, vous en avez la fine et aiguë perception et cela me rend votre lecture merveilleuse et fertile en rebondissements futurs. Je salue votre attention et vous souhaite une belle journée !
@Olga, Losque l' on prend le pinceau, le crayon ou la plume, on ne pense pas, on agit, on va où le trait vous mène, on s' écrase là où la tache vous fait obstacle, on commence à comprendre là où la couleur éclate de sa présence ! Et puis seulement après, on se dit que cela pourrait être ce à quoi on désirait parvenir. C' est un peu du vertige, une ascension dont on ne connait ni le chemin ni le sommet ! Excellente journée à vous !
je reviens à cette idée que concrétise l' œuf de Pâques, dont on sait qu' il en sortira rien et dont on mange la coquille en chocolat. Coquille vide, pas d' expansion vitale de soi, il est oiseux, pas oiseau pour une plume !
Imagination oiseuse? C' est un occis mort,ça!
RépondreSupprimerTrès fructueuse au contraire, il y a de l' oeuf et de l' oiseau là dedans,avec le bouquet de lilas en filigrane ,c' est " la renaissance printanière!" je l' ai vue sur tous les blogs ce soir!
Je vois-passion,le lutte contradictions et evolution.
RépondreSupprimersalutations
De Versus, je verse . . . vers Jean Marie Staive !
RépondreSupprimerAlors, Bonsoir Jean Marie Staive-Versus dont je suis, dessin après dessin, la publication de votre projet prometteur '' un livre peint sur les mots d'un autre '', et qui a beaucoup de qualités.
Votre dessin présent, tonique et lumineux, est séduisant pour son voyage ouvert vers une échappée à longues tiges. Je le vois ensoleiller d'un visage en feu, les gestes pendants, pour agir sur les ''imaginations oiseuses'' : ces dormeuses aux dodos (*). Le regard mène le jeu solaire d'un bord à l'autre des énergies limpides. Charmes en rangs bercés sur la pensée. Je n'ai plus un sommeil inutile !
Isabelle Dalbe
(*) non ces oiseaux disparus, mais les mots empruntés au langage enfantin
C'est merveilleux d'avoir tellement imagination. J'aime comment librement, vous utilisez dans votre art.
RépondreSupprimer@megi,
RépondreSupprimerJe trouve très intéressante votre interprétation du sujet du message. Oui, rétractation et expansion...mais n' est-ce pas le mouvement de la vie, de toute respiration ?
C' est le corps qui parle, et les signes ( peinture et écriture ) s' assoient à la table du festin de l' esprit.
Très bonne journée !
Isabelle Dalbe, merci pour votre analyse généreuse, créative et précise quand à son fond.Vous vivez parmi les poètes, vous en avez la fine et aiguë perception et cela me rend votre lecture merveilleuse et fertile en rebondissements futurs.
RépondreSupprimerJe salue votre attention et vous souhaite une belle journée !
@Olga,
RépondreSupprimerLosque l' on prend le pinceau, le crayon ou la plume, on ne pense pas, on agit, on va où le trait vous mène, on s' écrase là où la tache vous fait obstacle, on commence à comprendre là où la couleur éclate de sa présence !
Et puis seulement après, on se dit que cela pourrait être ce à quoi on désirait parvenir.
C' est un peu du vertige, une ascension dont on ne connait ni le chemin ni le sommet !
Excellente journée à vous !
oisiveté dynamique et précise ! c'est possible ?Chaudes couleurs libres et animales ?
RépondreSupprimer@gwendoline,
RépondreSupprimerVous tenez un oxymore, comme un œuf de Pâques, mais avec en prime le poussin jaune. Beau talent d' observation !
je reviens à cette idée que concrétise l' œuf de Pâques, dont on sait qu' il en sortira rien et dont on mange la coquille en chocolat.
RépondreSupprimerCoquille vide, pas d' expansion vitale de soi, il est oiseux, pas oiseau pour une plume !