Bien vu ! De votre lecture je suis assez surpris.. Reste à savoir si on est dans le nid ou pas ! Si on est la brindille constructrice ou pas. Si on est la branche qui soutient le nid. Et puis un dessin parmi des milliers, ce n' est pas la totalité de soi..Mais ça se discute ! Mais le titre, mais le motif... c' est toujours dans l' instant fugitif de la décision. Vous êtes psychologue Lautreje ou quoi ?
J'envie ce tracé noir, instinctif, fort qui appelle à sabler l'écriture par ces opacités d'ocre-rouge. tais-toi le mot ! Juste l'angle de la feuille bleue, incisif, morsure à une étoile. Et l'encre brune juste posée comme une vague avant tout ce combat... Les maux des mots enfuis, lavés, cachés, mordus, engloutis. Chaque trait, chaque tache les murent en murmures d'encre exilés.... Un réconfort ? inconfortable... dans le "nid"-mâchoire-étau...
Oui joye, le noir est aussi la part structurante du dessin, mobile comme les branches d' un arbre, mais ici, nul volonté de figuration de ma part. Grand et cordial salut !
Quelle juste et sensible lecture Christiane ! Votre pénétrante appréhension du sujet ( vous avez parfaitement bien lu les avancées successives du dessin sur le texte ! ) me donne l' envie de vous serrer chaleureusement les mains ! Merci !
Oh Jean Marie ton dessin n'est pas un blanc seing Oh Staive ton livre est un glaive Oh Versus vois comme ce poème est beau du bord de la Somme je te le livre
Ne soyez pas étonné T.G. Christiane est une dame bien connue et très respectée sur les blogs de haute tenue.. Lorsque j' étais surveillant de lycée comme il eut été formidable d' avoir une proviseure ( il me semble que c' est sa profession ) de sa trempe pour discuter peinture ou littérature ! Et vous, c' est la forme ? Je suis passé vous voir et je repasse vous laisser un commentaire... Ciao.
Arthémisia, vous voyez sinistre ce soir ! Mais il y a des mots tellement usés à force d' être lavés que l' on a envie de les mettre à la poubelle ! Pour la peinture aussi, cela arrive qu' il faille se laver la vue ! Vous qui utilisez les mots et l' espace offert à l' expression picturale vous me comprenez ? A bientôt !
T.G.Moème ça sonne bien, comme Nonime et l' art du même nom.. Vous auriez pu trouver une rime à Versus ! ( Je n' ai pas le temps de répondre que vous m' envoyer vos deux salves ! ):)
le noir veut engloutir le jaune que retient le rouge à l'oeil "triangle" cerné... que va-t-il se passer se demande l'autre rouge méditant??? bon week end réconfortant !
un réconfort tout en douceur, le nid est rempli.
RépondreSupprimerBien vu !
RépondreSupprimerDe votre lecture je suis assez surpris..
Reste à savoir si on est dans le nid ou pas !
Si on est la brindille constructrice ou pas.
Si on est la branche qui soutient le nid.
Et puis un dessin parmi des milliers, ce n' est pas la totalité de soi..Mais ça se discute !
Mais le titre, mais le motif... c' est toujours dans l' instant fugitif de la décision.
Vous êtes psychologue Lautreje ou quoi ?
La force de noir qui jaillit sur la page, on peut très bien voir son mouvement ! Il vibre.
RépondreSupprimerJ'envie ce tracé noir, instinctif, fort qui appelle à sabler l'écriture par ces opacités d'ocre-rouge. tais-toi le mot ! Juste l'angle de la feuille bleue, incisif, morsure à une étoile. Et l'encre brune juste posée comme une vague avant tout ce combat...
RépondreSupprimerLes maux des mots enfuis, lavés, cachés, mordus, engloutis. Chaque trait, chaque tache les murent en murmures d'encre exilés....
Un réconfort ? inconfortable... dans le "nid"-mâchoire-étau...
Oui joye, le noir est aussi la part structurante du dessin, mobile comme les branches d' un arbre, mais ici, nul volonté de figuration de ma part.
RépondreSupprimerGrand et cordial salut !
Quelle juste et sensible lecture Christiane !
RépondreSupprimerVotre pénétrante appréhension du sujet ( vous avez parfaitement bien lu les avancées successives du dessin sur le texte ! ) me donne l' envie de vous serrer chaleureusement les mains !
Merci !
Oh!
RépondreSupprimerMise en boîte ou mise en bière?
RépondreSupprimerCela a tout de même l'air d'un sale enfermement!
Je vous ai écrit un moème (nul)
RépondreSupprimerOh Jean Marie
ton dessin
n'est pas un blanc seing
Oh Staive
ton livre
est un glaive
Oh Versus
vois comme
ce poème est beau
du bord de la Somme
je te le livre
Pas mal hein?
Bon d'accord, je sors…
mon Poème est tellement nul que je l'ai appelé Moème…
RépondreSupprimerNe soyez pas étonné T.G. Christiane est une dame bien connue et très respectée sur les blogs de haute tenue.. Lorsque j' étais surveillant de lycée comme il eut été formidable d' avoir une proviseure ( il me semble que c' est sa profession ) de sa trempe pour discuter peinture ou littérature !
RépondreSupprimerEt vous, c' est la forme ?
Je suis passé vous voir et je repasse vous laisser un commentaire...
Ciao.
Arthémisia, vous voyez sinistre ce soir !
RépondreSupprimerMais il y a des mots tellement usés à force d' être lavés que l' on a envie de les mettre à la poubelle !
Pour la peinture aussi, cela arrive qu' il faille se laver la vue !
Vous qui utilisez les mots et l' espace offert à l' expression picturale vous me comprenez ?
A bientôt !
T.G.Moème ça sonne bien, comme Nonime et l' art du même nom..
RépondreSupprimerVous auriez pu trouver une rime à Versus !
( Je n' ai pas le temps de répondre que vous m' envoyer vos deux salves ! ):)
Love the combination of text and painting!
RépondreSupprimerThank you Kristin !
RépondreSupprimerle noir veut engloutir le jaune
RépondreSupprimerque retient le rouge à l'oeil "triangle" cerné...
que va-t-il se passer se demande
l'autre rouge méditant???
bon week end réconfortant !
Il va se passer que le noir n' attrapera rien !
RépondreSupprimerJuste, Marty, le temps de s' entendre et de s' accorder.
A vous aussi un week-end de soleil !