mercredi 25 mai 2011

Tendre de l' autre - projet de livre 31

10 commentaires:

  1. SI tu veux un ami, achète toi un chien…
    (c'est pas moi qui le dit c'est René Char… oh oh là je fais de la délation…
    j'efface de suite … trop tard, zut! saperlipopette! satanée machine…)

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  2. Oui TG, l' ombrelle de mon modèle n' a pas suffit à me protéger, à nous protéger des vagues malveillantes ou des coups de grisou technologiques !

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  3. OUI...on a tous le même problème!aujourd'hui il faut un parapluie...

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  4. Ce qui est drôle, ce matin, c' est que tout est rentré dans l' ordre...Étrange et agréable sensation de retrouver des visages ou des vignettes dont je ne connais l' existence que par un blog ou par quelques phrases échangées.
    Ai revu le site de TG pour le plaisir, il vaut le détour..question de chien de défense, j' ai une très nette préférence pour les chats.
    Retour à la peinture donc !

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  5. Retour au trouble technologique.
    Cela n' empêche pas d' écrire.

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  6. S' agit-il d' un demi aboiement , TG ?

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  7. il me semble voir apparaître la fraîcheur d'un printemps, des germes, des bougeons, du désir.
    Le Diable?-->>

    Comme un diable au fond de sa boîte,
    Le bourgeon s’est tenu caché.
    Mais dans sa prison trop étroite,
    Il baille et voudrait respirer.
    Il entend des chants, des bruits d’aile.
    Il a soif de grand jour et d’air.
    Il voudrait savoir les nouvelles
    Il fait craquer son corset vert.
    Puis d’un geste brusque, il déchire
    Son habit étroit et trop court.
    Enfin, se dit-il, je respire,
    Je vis, je suis libre. Bonjour !
    Paul Géraldy

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  8. Sympathique et très frais poème ! ( je ne sais pas pourquoi je pense soudainement à des petits pois frais ) Je n' avais pas pensé aux bourgeons Arthémisia... Mais en y repensant, c' est comme de mettre un point sur le i, de souligner un mot particulier dans une phrase, question de titiller la mémoire affective !
    Et puis, ne plus savoir à quel Saint se vouer !

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  9. Superbe !

    Un éléphant qui arrose de sa trompe d'Eustache, la vie qui s'ouvre, se questionne, et cherche le nombre "il", le verbe qu'il faut, la mort qui arrive aussi ...

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